Qui êtes-vous ?

Ma photo
France
Dans la langue française, exceptés les anglicismes qui en découlent, un seul mot semble-t-il, contient un attelage de lettres en succession conduisant à "BLOG", aussi par cette simple observation, n'est-il pas difficile de comprendre que je me plais, voire me complais, dans la fréquentation de la langue de Molière. Celle-ci m'a permis, en écrivant L'Enfant trouvé dans un panier, de faire un très beau et long voyage dans le temps et dans l'espace en compagnie de quinze générations et d'en rendre compte en près de 800 pages - dont une cinquantaine de figures en iconographie - renseignées par 450 notes de bas de page. Commissaire divisionnaire honoraire et juge de proximité ayant tout juste achevé mon mandat non renouvelable de sept ans, je vis dans la belle Cité des Ducs de Bretagne, c'est à dire à Nantes, pour être plus accessible à ceux qui ont le droit de ne pas connaître l'histoire de cette ville attachante, de son magnifique château ou de son fier passé industriel naval. Située à l'embouchure de la Loire et aux portes de l'Océan, elle a vu naître, Cambronne, Jules Verne, Aristide Briand et Eric Tabarly qui vous souhaiterait sans doute ici : Bon vent et à Dieu vat !

SOLDATS MORTS POUR LA FRANCE - JOURNAUX DE MARCHES.

  "... le colonel Desgrées Du Loû devant Le Mesnils-lès-Hurlus, en septembre 1915. Il sera tué en même temps qu’un officier subalterne et un sous-officier, et  le groupe photographié dans l’ultime seconde alors qu’il partait à l’assaut drapeau en tête, deviendra dans L’Illustration du 20 novembre 1915, le témoignage saisissant de la mort  égalitaire sous le feu ennemi et le symbole du courage et de l’engagement du commandement militaire tous grades confondus.
L'Enfant trouvé dans un panier, vol.1 CH I page 18
http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/

 " Morts de maladie ou des suites de leurs blessures, volatilisés, coupés en deux ou mitraillés, pour la relation de leur décès, ils n’ont qu’un choix très administratif qui passe le plus souvent par « tué à l’ennemi », « disparu au combat » ou « mort à l’ambu­lance ». Autant de mentions que leurs descendants qui ne sont pas forcément des généalogistes peuvent retrouver sur des fiches dont la banalité de rédaction cache la plupart du temps d’inhumaines souffrances.L'Enfant trouvé dans un panier, vol.1 CH I page 18.          
                                     
Tenus par le Ministère des Armées, les listes des soldats morts pour la France au cours des guerres modernes (et ceux de la Cie des Indes) et les Journaux des Marches et Opérations pour suivre l'enfer ou la vie quotidienne de leurs régiments.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire