" Morts de maladie ou des suites de leurs
blessures, volatilisés, coupés en deux ou mitraillés, pour la relation de leur
décès, ils n’ont qu’un choix très administratif qui passe le plus souvent par
« tué à l’ennemi », « disparu au combat » ou « mort à
l’ambulance ». Autant de mentions que leurs descendants qui ne sont pas
forcément des généalogistes peuvent retrouver sur des fiches dont la banalité
de rédaction cache la plupart du temps d’inhumaines souffrances. " L'Enfant trouvé dans un panier, vol.1 CH I page 18.
Tenus par le Ministère des Armées, les listes des soldats morts pour la France au cours des guerres modernes (et ceux de la Cie des Indes) et les Journaux des Marches et Opérations pour suivre l'enfer ou la vie quotidienne de leurs régiments.
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